Données macro
Les poseurs de revêtement intérieur installent des moquettes ou des revêtements de sol en bois, en linoléum, en matière plastique ou autre matériau souple. Ces poses peuvent se faire dans des logements individuels, des locaux commerciaux ou industriels et divers lieux de travail tertiaire. Les poseurs de sols travaillent dans des entreprises de construction, de second œuvre du BTP, pour des entrepreneurs en revêtement de sol, dans des points de vente de tapis et autres revêtements ou encore comme travailleurs indépendants. Ce métier peut être à la fois un travail isolé ou mettre l’opérateur en situation de co-activité. Il peut aussi nécessiter la préparation du sol et le retrait des couvertures existantes. Il nécessite de fréquents déplacements et la manutention des sols à mettre en place.
L’activité de pose et traitement de parquet diffère fortement de l’activité de pose de revêtement de sol « souple » mais est cependant traitée dans la même fiche.
Voir aussi le fiche métier : carreleur
Les risques du métier
Statistiques maladies professionnelles
Les maladies professionnelles accompagnant cette activité sont variées :affections des membres supérieurs, affections des genoux, affections du rachis lombaire, allergies respiratoires et autres affections liées à l’utilisation des colles (isocyanates, époxy, solvants organiques).
Risques inhérents aux lieux de travail
La pose de revêtement de sol peut se faire dans des locaux habités ou dans des locaux encore en travaux (bâtiments en construction ou en réhabilitation) avec alors un risque lié à la co-activité. Il importe d’analyser les risques liés aux circulations et de prévoir les incidences liées à la coactivité entre les entreprises. Ces locaux sont divers et variés : il peut s’agir de pièces de logement ouvertes sur l’extérieur, de pièces en sous-sol, de locaux techniques fermés dans des industries….
La pose de revêtement de sol se fait à l’abri des intempéries.
Principaux risques inhérents aux tâches
Le port de charges est important lors de la mise en place du chantier (colles, revêtements, outillage, aspirateur, …). Si le chantier comporte une préparation (retrait des sols en place, ragréage), il y a aussi manutention de charge (matériel de décapage, déchets, produits et matériel de retrait des sols, sacs de ragréage).
Une grande partie du travail s’effectue à genoux, avec des déplacements fréquents à genoux ou glissés sur les genoux. Ces contraintes posturales et ces sollicitations sont facteurs de troubles musculo-squelettiques (tableau n° 57, 79 et 98 des maladies professionnelles).
La préparation du support nécessite en général un dépoussiérage au balai ou à l’aspirateur (à privilégier). Il peut aussi être nécessaire de nettoyer plus profondément, de décaper, poncer ou gratter le support au moyen de raclette ou de raboteuse à béton. Le décapage peut aussi se faire par utilisation de décapants chimiques. L’ancien revêtement peut aussi être enlevé manuellement ou à l’aide de machine à décoller la moquette (action d’un solvant couplée à une lame). Les produits chimiques mis en œuvre sont susceptibles d’être dangereux pour la santé et la sécurité des utilisateurs.
Le rabotage du béton peut s’accompagner d’une exposition aux poussières de silice potentiellement dangereuses pour la santé.
NOTA : cette activité de préparation du support peut conduire le poseur de revêtement de sol à être en contact avec de l’amiante contenue dans les dalles de sol, les colles, les ragréages. Il convient de vérifier l’absence d’amiante dans les supports avant de commencer les travaux.
La préparation peut aussi comporter l’application d’un enduit de ragréage (ciment). Sur les supports poreux, l’application préalable d’un primaire d’accrochage peut être effectuée. Il est composé de solvants et polychloroprène. Cette opération présente des risques spécifiques dont il faut tenir compte. La posture est aussi contraignante.
Le revêtement de sol est fixé en général par une colle qui doit être étalée à l’aide d’une spatule. Cette colle est à base d’époxy, polyuréthane, acrylique ou vinylique et contient des solvants. Cette opération comporte des contraintes posturales et des risques pour la santé et la sécurité des utilisateurs liés à la colle.
Après un « temps de gommage », le revêtement de sol peut être étendu à coup de genou ou au moyen d’un tendeur à levier actionné avec le genou (en tapant) avec ajustement au cutter. Cette opération comporte des contraintes posturales et des risques de coupure. Les dalles vinyliques peuvent être préalablement chauffées au chalumeau. Cette opération nécessite de bien aérer le local et comporte un risque de brûlure. Sur certains revêtements un produit protecteur peut être appliqué à la main ou à la machine (contraintes posturales).
Le travail d’installation de revêtements type parquets (bois dur, bois exotiques, lamellés-collés, contre-plaqués) est sensiblement différent même s’il comporte des mêmes contraintes physiques (port de charge, travail à genoux). Les parquets peuvent être installés suivant plusieurs méthodes selon leur nature : collés, agrafés ou cloués sur tasseaux. La pose de parquet nécessite des découpes d’ajustement, avec risque d’inhalation de poussières de bois, coupures et diverses blessures aux mains. L’activité peut comporter aussi un ponçage du parquet à l’aide d’une ponceuse autoportée avec finition par ponçage à la main le long des plinthes (bordureuse, papier de verre).
La finition du parquet peut nécessiter de le vitrifier ou de l’huiler. Cette opération comporte des contraintes posturales et des risques liés à l’utilisation des vitrificateurs ou des huiles de traitement.
La finition du chantier comporte la pose de plinthe et de nez de marche collés ou cloués ainsi qu’un nettoyage final à faire de préférence à l’aspirateur. Le nettoyage des outils se fait en général à l’aide de chiffons imprégnés de solvants ou diluants.
Principaux risques inhérents aux produits
Les risques spécifiques à l’utilisation des produits doivent être connus, à partir de l’étiquetage et des fiches de données de sécurité et les opérateurs doivent être formés aux risques définis par ces fiches. Ils doivent avoir à disposition des équipements de sécurité tels que définis par les fiches de données de sécurité. Les fiches de données de sécurité doivent être obligatoirement transmises par le fournisseur.
Les risques liés aux produits chimiques sont de deux ordres : risques pour la santé des opérateurs et risque pour leur sécurité (risque d’incendie ou d’explosion).
La plupart des produits utilisés dans le métier de poseur de sol (colles, primaire d’accrochage, vitrificateurs) comportent une part de solvants dans leur composition. Les solvants peuvent avoir des effets à plus ou moins long terme sur la santé en fonction de leur nature exacte et de leur proportion dans le produit (tableaux n° 51, 62, 66 A, 82, 84 des maladies professionnelles). Aussi, il est important d’avoir la fiche de donnée de sécurité de chacun des produits. Certains solvants ont des effets par inhalation, aussi il convient de bien aérer et ventiler le local de travail voire de porter un masque respiratoire. D’autres solvants ont des effets par contact avec la peau et le port de gants de protection est alors recommandé.
Un autre risque lié à ces solvants est le risque d’incendie et d’explosion des vapeurs qui se dégagent lors de leur utilisation, dès lors que les quantités de vapeurs sont en concentration suffisante dans un espace confiné et qu’une source d’inflammation est présente. Des accidents se sont fréquemment produits sur des chantiers. Par exemple lors d’une phase d’étalement d’une colle néoprène sur une surface de quelques mètres carrés dans un logement privé, une explosion s’est produite lorsque le thermostat du radiateur électrique de la pièce s’est mis en marche.
Les autres composants des colles, des primaires d’accrochage et des vitrificateurs (résines époxy, résine urée-formol, polyuréthane, isocyanates, …) ont des effets qui peuvent être graves pour la santé des opérateurs (tableau des maladies professionnelles n°62) : allergies respiratoires (asthmes) ou cutanées (eczémas), irritations cutanées, respiratoires ou oculaires. La polymérisation des colles polyuréthane s’accompagne de l’émission de formaldéhyde présentant un risque d’allergie (tableau n°43 des maladies professionnelles).
Certains produits de décapage (bases telles que soude ou ammoniaque) peuvent être corrosifs pour la peau et les yeux en cas de contact. Ils peuvent provoquer des irritations respiratoires et oculaires plus ou moins graves en fonction de la concentration atteinte dans l’air.
Le ciment utilisé pour le ragréage peut provoquer des irritations et des dermatoses, des brûlures cutanées et des allergies du ciment (tableau n°8 des maladies professionnelles).
Les opérations de ponçage de sols émettent des poussières, notamment de silice qui sont susceptibles de provoquer des maladies respiratoires (tableau n° 25 des maladies professionnelles).
Les poussières de bois mises en suspension lors du ponçage peuvent provoquer des réactions allergiques, des irritations de la peau, des muqueuses et des voies respiratoires supérieures. A long terme il peut y avoir une diminution des capacités respiratoires et des risques de cancer de l’ethmoïde (zone des sinus ; tableau n° 47 B des maladies professionnelles). Si les lattes de parquets posées sont en matériaux composites, elles sont susceptibles d’émettre du formaldéhyde qui est sensibilisant.
La présence d’amiante ou de matériaux en contenant comporte un risque important pour la santé si les travaux effectués risquent de mettre des fibres d’amiante en suspension : risque de cancer broncho-pulmonaire (tableau 30 et 30 b des maladies professionnelles). Il convient de vérifier la présence d’amiante avant d’effectuer des travaux de retrait, ponçage ou percement et d’effectuer une évaluation préalable des risques.
Principaux risques inhérents aux équipements de travail
Risques de coupures lors de l’utilisation des scies portatives, cutters et autres outillages à main.
Risque d’abrasion accidentelle lors de l’utilisation de ponceuse autoportée ou à main.
Risque liés au bruit avec les diverses machines (ponceuse, ponceuse à main, scie, aspirateur, …) (tableau n° 42 des maladies professionnelles).
Chalumeau : risque de brûlure thermique, risque d’intoxication en cas de mauvais réglage du brûleur.
Autres risques :
Risque d’explosion des poussières de bois mises en suspension en quantité suffisante dans un espace confiné (nuage de poussières).
Risque routier lors de l’accès au chantier.
Risque travailleur isolé (sur les chantiers privés) et risque co-activité avec les entreprises intervenantes d’un même chantier (au moins sur les accès au lieu de pose du revêtement de sol).
Les moyens de prévention
Rappel important : La prévention doit toujours obéir à la logique suivante : 1° suppression du risque (substitution d’un produit …) 2° évaluation du risque non supprimable (document unique d’évaluation) 3° protection collective (captage des polluants, protecteur sur machine…) 4° protection individuelle (quand la protection collective est impossible, insuffisante ou dans l’attente de son installation) .Dans tous les cas, l’information et la formation des travailleurs s’imposent.
Risques liés à la co-activité
- concertation entre les entreprises intervenant sur un même chantier formalisée dans un plan de prévention ou le PGCSPS (plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la santé) et les PPSPS (plans particuliers de sécurité et de protection de la santé) élaborés avant la réalisation des travaux ; coordination et analyse des risques d’interférence
Risque travail isolé
- revoir l’organisation pour supprimer ou limiter l’isolement (en cas d’impossibilité, prévoir une procédure particulière, moyens techniques, « système d’homme mort » : DATI détection d’accident de travailleurs isolés)
- évaluer les dangers propres du travail et à ces situations et prendre les mesures adaptées
- dans un chantier pluriactivité organiser une surveillance directe ou indirecte
Risques lié aux manutentions et postures contraignantes
- organiser la livraison des matériaux lourds par les moyens communs (grue, monte-charge, ascenseur, …) notamment sur des chantiers collectifs de même que l’évacuation des déchets
- aménager les accès au chantier (espace suffisant, non encombré, …)
- utiliser des aides à la manutention (diables, transpalettes manuels, …)
- organiser le travail pour éviter les manutentions inutiles
- utiliser des conditionnements de plus petite taille
- protection des genoux avec des genouillères indépendantes ou intégrées au vêtement de travail
- Former les salariés à des gestes de manutention adaptés et corrects
Risques liés aux produits (colles, ciment, primaire d’accrochage, décapants chimiques, vitrificateurs, …)
- Se procurer les fiches de données de sécurité et les exploiter (se faire aider du médecin du travail si nécessaire)
- Privilégier l’utilisation des produits les moins dangereux et se rapprocher du fournisseur pour connaître l’existence de nouveaux produits moins dangereux
- Porter des gants de protection pour éviter le contact avec les produits (ragréage, vitrification, …)
- Utiliser des vernis sans formaldéhyde (substitution qui s’impose) ou n’en générant pas, si possible sans solvant. En cas d’utilisation de procédé exposant au formaldéhyde, suivre les précautions définies par la FDS.
- Bien ventiler les locaux où le sol est posé ou vitrifié, si nécessaire en cas de local très confiné mettre en place un système de ventilation
- Prévoir des protections individuelles adaptées au risque et indiquées par la fiche de données de sécurité (gants, lunettes lors de l’usage des décapants par exemple), si le port de masque s’impose utiliser des masques adaptés de type A2 (pour les solvants) et de type B (pour le formaldéhyde).
- Respecter des règles d’hygiène : se laver les mains avant les repas ou avant de fumer, ne pas manger ni fumer sur le chantier (avoir à disposition des locaux sanitaires adaptés).
Risques liés aux solvants
- Remplacer les produits les plus inflammables (à voir avec le fournisseur)
- Utiliser un produit de vitrification en phase aqueuse
- Prévoir sur le chantier des moyens d’extinction en cas d’incendie (extincteurs)
- Bien ventiler les locaux traités à l’huile de lin ou à l’huile modifiée uréthane (contiennent aussi des solvants)
- Bien ventiler les locaux où le sol est posé, si nécessaire en cas de local très confiné mettre en place un système de ventilation
- Veiller à ce qu’il n’y ait pas de zone non aérée-* Proscrire les points chauds, les étincelles, la cigarette, etc.
- Ne pas fumer dans le chantier, ni à proximité immédiate des entrées et fenêtres
- Porter des vêtements de travail antistatiques (en coton) et chaussures de sécurité conductrices.
- Débrancher et neutraliser toute installation électrique lors de l’étalement des colles (éclairage, radiateur, …) : procédure de consignation.
- Ne pas effectuer d’autre activité dans le local pendant le « temps ouvert » ou « temps de gommage »
- Evacuer du chantier au fur et à mesure les bidons de colle utilisés, n’ouvrir qu’un bidon à la fois pour utilisation immédiate-* Ne pas se nettoyer les mains avec un solvant
Risques liés aux outils
- Port de gants de protection contre les coupures lors de l’utilisation de cutters
- Utiliser un cutter de sécurité
Risques liés aux machines
- utiliser des ponceuses autoportées ou à main, des scies à main équipées d’un système d’arrêt automatique
- les scies doivent être équipées des protecteurs adaptés et de systèmes d’aspiration des poussières
Lors de l’achat d’une machine neuve, il convient de veiller, en plus des systèmes de protection obligatoires, aux performances de la machine en termes de bruit et d’émission de poussières (possibilité de capter les poussières). Pour un matériel d’occasion, se faire remettre un certificat de conformité.
Poussières de bois et de silice
- aspirer les poussières au point d’émission (machine portative avec aspiration et filtre) : ponceuses ou scie avec système d’aspiration des poussières
- privilégier autant que possible les découpes hors du chantier dans un atelier équipé d’installations d’aspiration (mesure d’organisation du travail)
- effectuer les découpes à l’extérieur des locaux, en plein air
- nettoyage du chantier à l’aspirateur, proscrire l’usage du balai
- port d’un masque à poussière de type NFP 3 lors de l’émission de poussières de bois ou de silice (se faire aider par le médecin du travail pour le choix du masque)
- quitter les vêtements de travail à la sortie du chantier afin de ne pas exporter les poussières (dans le véhicule, au domicile)
Bruit
- évaluer le bruit des machines
- réparer ou remplacer les machines les plus bruyantes par des machines moins bruyantes
- utiliser des protections individuelles contre le bruit (casque, bouchons d’oreille, …) lors de toute opération bruyante même de courte durée (demander l’avis du médecin du travail pour le choix de la protection adaptée)
Amiante
- avant d’établir le devis et de commencer le chantier, notamment lorsqu’il y a retrait de matériau, ragréage ou percement, vérifier la présence d’amiante auprès du propriétaire
- demander les documents permettant d’avoir cette information : DTA (dossier technique amiante obligatoire depuis 2006), fiche récapitulative, constat amiante, documents établis lors de la construction). Ne pas commencer le chantier avant d’avoir ces éléments
- ne pas intervenir sur le matériau : ne pas percer, utiliser des adhésifs ou des colles pour fixer les éléments sur un sol contenant de l’amiante
- ne pas intervenir dans des locaux comportant des matériaux friables ou dégradés (calorifugeage, flocage, faux plafonds)
- faire effectuer le retrait des sols et revêtements contenant de l’amiante par une entreprise spécialisée (entreprise certifiée)
Risques routiers
- organiser l’activité afin de réduire les déplacements routiers (livraison du matériel, passage d’un chantier à l’autre, repas, …)
- informer et sensibiliser les salariés sur le risque routier, former les salariés à la conduite en situation difficile
- Informer et donner accès aux informations sur les conditions de circulation (météo, points circulation, travaux sur le réseau, …)
- veiller au bon état du véhicule et des équipements (pneus neiges, …)
- ne pas utiliser le téléphone portable au volant.
Dans tous les cas il appartient à l’employeur à effectuer une évaluation des risques liée à son activité et de la faire figurer dans son document unique.Pour chaque chantier il convient d’effectuer une évaluation spécifique des risques, cette réflexion nécessite un temps de préparation.
Textes applicables
Partie IV du code du travail, notamment :
- pour l’évaluation des risques : articles R. 4121-10 à R. 4121-40
- pour le risque amiante : articles R. 4412-143 à R. 4412-147
- pour le risque chimique : articles R. 4412-1 à R. 4412-47
- pour le risque cancérogène, mutagène, toxique pour la reproduction : R. 4412-59 à R. 4412-93
- pour le risque d’incendie et d’explosion : R. 4412-17 et R. 4412-18
- pour le bruit : articles R. 4431-1 à R. 4436-1
- pour l’aération des locaux de travail : articles R. 4222-10 à R. 4222-13, R. 4222-24 à R 4222-26.
- pour le confort au poste de travail : articles R. 4223-15 et R. 4225-2
- pour les machines neuves : article R. 4311-4 et son annexe I
- pour les machines mises en services avant le 01 janvier 1993 : R. 4324-1 à R. 4324-23
- rôle du médecin du travail : articles R. 4623-1 et suivants
Pour en savoir plus
INRS
- « Vos genoux sont fragiles, protégez les… » Publication INRS ED 787 (2003, dépliant 3 volets)
- Sur les TMS (troubles musculosquelettiques) : de nombreux documents sur le site de L’INRS notamment le site info-tms
- L’amiante : dossier web de l’INRS
- « Poussières de bois, prévenir les risques » Publication INRS ED 974 (10 p.)
- Le bruit : dossier web de l’INRS
- « Les équipements de protection individuelle de l’ouïe. Choix et utilisation » Publication INRS ED 868(2001, 40p)
- « les appareils de protection respiratoire » Publication INRS ED 98 (2002, fiche 4p.)
- Incendie sur le lieux de travail : dossier web de l’INRS
- Explosion sur le lieux de travail : dossier web de l’INRS
- « Explosion et lieux de travail ». Publication INRS ED 5001 (2001, fiche 4p)
- « Les solvants. Présents au quotidien, nous ne les connaissons pas … » Publication INRS ED 4252 (2005, 10p)
- « Couteaux à lame jetable » Publication INRS ED 115 (2004, 4p.)
- « Conduire est un acte de travail » publication INRS ED 934 (2004, dépliant)
- Prévenir le risque routier en mission : dossier web de l’INRS
CISME