Discours de François REBSAMEN
Mesdames, messieurs,
Je vous souhaite à toutes et à tous la bienvenue au Ministère du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, et je vous remercie d’être venus nombreux pour lancer la candidature officielle de la France à l’organisation des Worldskills 2019.
Je tiens tout d’abord à saluer mon collègue Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports. Sa présence aujourd’hui traduit le soutien fort du gouvernement, qui fait suite à celui que le Président de la République a personnellement apporté au lancement de cette belle initiative.
Je tiens également à saluer Michel Guisembert, président du Comité français des Olympiades des métiers, qui porte la candidature de la France, et Alain Ducasse, qui a accepté de parrainer cet événement, en y associant son nom et sa renommée internationale.
Je salue également les jeunes qui ont représenté la France - et avec quel succès ! - aux Euroskills 2014, qui se sont tenus à Lille en octobre dernier. Ils partageront leur expérience avec nous tout à l’heure.
Je voudrais saluer aussi les représentants des partenaires sociaux, les chefs d’entreprises et les institutionnels qui nous font l’honneur de leur présence, et qui démontrent, s’il en était besoin, que la France du travail est mobilisée autour de ce grand rendez-vous des métiers.
Je salue enfin la ville de Paris et le Conseil Régional d’Ile-de-France, qui se sont engagés à nos côtés.
Le Président de la République m’a chargé, et c’est un honneur, de porter ce projet en collaboration avec Worldskills France et son président, Michel Guisembert. La manifestation d’aujourd’hui est une première étape. Et je souhaite qu’elle marque, certes, le lancement officiel de la candidature de Paris, mais qu’elle soit aussi l’occasion de resserrer les liens et démontrer la fermeté de notre engagement.
_ Notre engagement en faveur de la candidature de Paris, mais aussi, plus largement, en faveur de l’excellence du savoir-faire français et du rayonnement de la France à l’international.
C’est grâce à la mobilisation de tous les acteurs, qu’ils soient représentants de la société civile, des corps intermédiaires ou des institutions, que nous pourrons porter haut les couleurs de notre candidature, et que nous la ferons gagner à Sao Paulo, en août 2015.
L’enjeu est de taille : nous devons saisir ce qui est, à mon sens, une opportunité unique de valoriser les métiers et ceux qui les exercent, à travers la formation professionnelle.
Je cède maintenant la parole à Patrick Kanner.