Bulletin Officiel du Travail, de lEmploi et de la Formation Professionnelle
No 2004/22 du dimanche 5 décembre 2004
MINISTÈRE DE LEMPLOI, DU TRAVAIL
ET DE LA COHÉSION SOCIALE
Secrétariat dEtat au logement
Direction générale de lurbanisme,
de lhabitat et de la construction
Service du développement urbain
et de lhabitat
Sous-direction des interventions urbaines
et de lhabitat
Circulaire no 2004-56 UHC/IUH 2 du 25 octobre 2004
NOR : SOCU0410207C
(Texte non paru au Journal officiel)
Références :
Circulaire no 2004-13 du 18 février 2004 relative à la programmation des financements aidés de lEtat pour 2004
Circulaire no 2001-69 UHC/IUH 2/22 du 9 octobre 2001 relative à lutilisation de la ligne « amélioration de la qualité de service dans le logement social » - chapitre 65.48, article 02 modifiant la circulaire no 99-45 du 6 juillet 1999
Circulaire no 2001-77 du 15 novembre 2001 relative à la déconcentration des décisions de financement pour démolition et changement dusage de logements locatifs sociaux modifiant les circulaires des 22 octobre 1998 et 26 juillet 2000
Circulaire no 2002-31 UHC/IUH 2/9 du 26 avril 2002 relative aux modalités dintervention du 1 % logement au titre du renouvellement urbain
Le ministre de lemploi, du travail et de la cohésion sociale à Madame et Messieurs les préfets de région (direction régionale de léquipement) ; Mesdames et Messieurs les préfets de département (direction départementale de léquipement).
LAgence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) intervient dans les quartiers visés au premier alinéa de larticle 6 de la loi no 2003-710 du 1er août 2003 dorientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine, ainsi que, pour les opérations de réalisation de logements locatifs sociaux destinées à compenser les démolitions, dans des territoires situés en dehors de ces périmètres.
Le premier alinéa de larticle 14 de la loi no 2003-710 du 1er août 2003 dorientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine prévoit que « lorsque lAgence nationale pour la rénovation urbaine finance la construction de nouveaux logements sociaux, lacquisition, la reconversion, la réhabilitation ou la démolition de logements existants, les subventions quelle accorde sont soumises aux mêmes conditions que les aides de lEtat. Elle peut toutefois accorder des majorations de subventions dans des conditions définies par décret en Conseil dEtat ».
Pour les aides au logement codifiées dans le code de la construction et de lhabitation (CCH), cest-à-dire celles qui concernent la production et la réhabilitation des logements locatifs sociaux, le décret en conseil dEtat no 2004-1005 du 24 septembre 2004 prévoit les modalités de ces majorations pour les opérations de PLUS, PLUS CD, PLAI (y compris en ce qui concerne le financement des surcharges foncières) et PALULOS.
Sagissant des aides au logement relatives à la démolition, à la reconversion (changement dusage), à lamélioration de la qualité de service, aux travaux dintérêt architectural, au traitement des copropriétés dégradées, au relogement temporaire des personnes, ainsi quà la restructuration ou à la fusion de logements, la présente circulaire a pour objet de définir leurs règles demploi dans les sites dintervention de lANRU.
Enfin, sagissant des autres aides concernant lhabitat (aides à la résidentialisation, aides à lingénierie en copropriété et en quartiers anciens), ainsi que des aides aux autres types dopérations concourant à la rénovation urbaine (tels que laménagement, les équipements et lingénierie de projet) concernées par le 2e alinéa de larticle 14 de la loi susmentionnée, elles relèvent de la compétence du conseil dadministration de lagence.
Les dispositions de la présente circulaire sont applicables aux subventions attribuées à compter de la date de création de lANRU.
Il est précisé que la présente circulaire ne concerne que les aides attribuées en métropole.
Bénéficiaires des aides sur les territoires dintervention de lANRU
En vertu des dispositions de larticle 10 de la loi dorientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine les bénéficiaires des aides de lANRU sont « les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale compétents, les organismes publics ou privés qui conduisent des opérations concourant à la rénovation urbaine à lexception des établissements publics nationaux à caractère administratif dont les subventions de lEtat constituent la ressource principale ».
Les opérations concernées et les modalités doctroi des aides sont précisées ci-après.
1. Démolition et reconversion (changement dusage)
de logements locatifs
Les dispositions relatives à loctroi de subventions de lEtat pour la démolition et le changement dusage de logements locatifs sont définies par la circulaire no 2001-77 du 15 novembre 2001 relative à la déconcentration des décisions de financement pour démolition et changement dusage de logements locatifs sociaux modifiant les circulaires des 22 octobre 1998 et 26 juillet 2000 ainsi que la circulaire no 2002-31 UHC/IUH 2/9 du 26 avril 2002 relative aux modalités dintervention du 1 % logement au titre du renouvellement urbain, hormis les adaptations induites par la création de lagence et précisées ci-après.
1.1. Changement dusage
Nature de lopération :
Sont concernées les opérations de transformation de logements locatifs sociaux pour dautres usages que lhabitation dans le but de diversifier loccupation des immeubles ou des quartiers concernés. Les opérations de vente avec changement dusage ne sont pas subventionnables. Le bailleur doit rester propriétaire des locaux transformés pour bénéficier de ces subventions pour une durée dau moins 5 ans.
Assiette et taux de subvention :
Lassiette subventionnable comprend les dépenses liées aux travaux de transformation de logements ou de locaux liés à lhabitation (caves, hall dentrée, etc.) portant sur le gros uvre, les réseaux, et la remise en état des locaux en vue de leur location. Les travaux dextension de superficie à loccasion de la transformation dusage peuvent être pris en compte, à condition que les surfaces créées restent dans lenveloppe du bâtiment. Peuvent également être pris en compte les travaux créant un accès indépendant pour les locaux transformés.
Le taux de subvention est au maximum de 35 % de lassiette subventionnable, quelle que soit la nature des activités implantées (activités publiques ou privées).
La subvention est plafonnée à 20 000 Euro par logement transformé. Lorsque des travaux accompagnant la transformation dusage portent sur des locaux annexes ou des transparences en rez-de-chaussée (fermetures des passages traversants), la subvention pour la quote-part de ces travaux est limitée à 600 Euro par mètre carré transformé.
1.2. Démolition de logements locatifs
Les dispositions des circulaires rappelées ci-dessus peuvent également sappliquer à des logements locatifs qui nappartiennent pas à des organismes dHLM ou à des SEM, notamment lorsque les loyers sont du même ordre de grandeur que ceux des logements locatifs sociaux. Toutefois, compte tenu de ce niveau de loyer, la reconstitution de loffre ainsi démolie doit être réalisée en PLUS ou en PLAI.
Les dispositions relatives à la déclaration dintention de démolir servant notamment de date de référence pour la prise en compte des coûts de relogement, déclaration introduite par la circulaire du 15 novembre 2001 susvisée, sont maintenues. Toutefois, le dépôt de cette déclaration doit être effectué auprès du délégué territorial de lANRU chargé den effectuer lanalyse.
Assiette et taux de subvention :
1er cas : opérations de démolition sans projet de rénovation urbaine.
Dans ce cas, lassiette subventionnable est celle définie dans la circulaire du 15 novembre 2001 ; elle comprend :
- coûts directs de démolition ;
- dépenses liées au relogement et au suivi social ;
- coûts daménagement des logements servant au relogement ; le plafond de subvention correspondant étant porté à 1 500 Euro par logement ;
- charges de remboursement du capital restant dû liées aux prêts accordés pour la construction, lacquisition ou la réhabilitation des logements, sauf ceux contractés pour des travaux effectués depuis moins de cinq ans ;
- dépenses de remise en état des terrains libérés et des réseaux concernés ;
- frais et prestations directement imputables à lopération.
Le taux de subvention maximum est de 70 %.
2e cas : opérations de démolition avec projet de rénovation urbaine.
Lorsque lopération de démolition est intégrée à un projet de rénovation urbaine faisant lobjet dune convention pluriannuelle de financement prévue à larticle 10 de la loi, conclue ou en cours délaboration, le calcul de laide financière peut être effectué sur la base dun bilan daménagement sur un périmètre restreint aux îlots directement concernés par la démolition.
Le calcul du bilan daménagement seffectuera sur la base du guide méthodologique pour lélaboration des bilans daménagement publié en mars 2003 par la Direction générale de lurbanisme, de lhabitat et de la construction.
Le bilan pourra intégrer, sur le périmètre concerné :
En dépenses :
- coûts directs de démolition, les coûts sociaux et techniques liés au relogement, les charges de remboursement du capital restant dû, les frais et prestations directement imputables à lopération, dépenses mentionnées ci-dessus ;
- compensation de la perte dautofinancement du bailleur engendrée par la démolition, sil y a lieu ;
Les coûts des travaux de restructuration du foncier et prestations liées, à savoir uniquement les aménagements qui permettent la remise en état des parcelles et garantissent leur desserte au sein dun îlot mutable, créé par les démolitions :
- maillage interne de lîlot ;
- remise en état des parcelles jusquau stade du pré-verdissement ;
- démolition de réseaux ou déquipements liés directement induite par la démolition des bâtiments de logements.
En recettes :
- valorisation des charges foncières des terrains devenus cessibles, évaluée sur la base du guide précité ;
- contributions financières éventuelles des autres partenaires financiers de lopération.
Le déficit résultant de ce bilan peut donner lieu à une subvention pouvant aller jusquà 100 % de son montant, au vu dune appréciation (cf. paragraphe 7 de la présente circulaire) :
- de la situation financière des bailleurs concernés ;
- de la situation financière des collectivités locales ;
- de difficultés techniques ou sociales particulières de lopération.
2. Travaux concourant à lamélioration
de la qualité de service
Les dispositions relatives à loctroi de subventions de lEtat pour lamélioration de la qualité de service sont définies par la circulaire no 2001-69/UHC/IUH2/22 du 9 octobre 2001 relative à lutilisation de la ligne « amélioration de la qualité de service dans le logement social », chapitre 65.48 article 02 modifiant la circulaire no 99-45 du 6 juillet 1999.
Lorsque les actions concernent des travaux relatifs à lamélioration de la qualité de service dans les conditions précisées par les circulaires sus-mentionnées, le montant maximal des travaux subventionnables est porté à 5 000 Euro par logement.
Ces dispositions ne sappliquent pas au financement des travaux de résidentialisation dont les modalités doctroi sont définies par le conseil dadministration de lagence.
3. Travaux dintérêt architectural
Les dispositions relatives à loctroi de subventions de lEtat pour la réalisation de travaux dintérêt architectural dans le cadre dopérations dacquisition-amélioration sont définies notamment par lannexe 9 de la circulaire no 91-85 du 18 décembre 1991 relative à la programmation des aides à la pierre.
Lorsque ces opérations sont situées dans le champ dintervention de lagence, le plafond pris en compte pour déterminer lassiette de la subvention peut être porté à 400 Euro par mètre carré de surface habitable et le taux maximum de la subvention peut être fixé à 60 % de lassiette subventionnable.
Le taux et le plafond mentionnés ci-dessus peuvent être modulés en tenant compte de critères liés notamment à la situation financière des maîtres douvrage et des collectivités territoriales ou aux difficultés techniques ou sociales des opérations (cf. paragraphe 7).
4. Le relogement temporaire des personnes
Pour faciliter lhébergement provisoire en cas de démolition ou de restructuration lourde des logements, notamment à loccasion de la restructuration de logements-foyers de travailleurs migrants, des aides à la construction, à limplantation et à lacquisition de structures légères ou à laménagement de locaux existants non destinés initialement à lhabitation peuvent être accordées.
Assiette et taux de subvention :
Lassiette subventionnable comprend :
- les coûts éventuels dacquisition du terrain dassiette de la construction et de viabilisation des bâtiments concernés ;
- les coûts de réalisation de la construction, de limplantation et de lacquisition ou de la location de structures dhébergement, ou de laménagement de locaux existants ainsi que léventuel agencement intérieur destiné à assurer un confort de base aux locataires ;
- les coûts des actions daccompagnement social liées à lhébergement provisoire ;
- les coûts de réalisation de dépendances éventuelles destinées à assurer des conditions de vie et de confort décentes aux occupants ;
- les frais et prestations directement imputables à lopération.
Elle est plafonnée à un montant de 60 000 Euro par unité dhébergement créée.
Le taux de subvention est au maximum de 75 % du montant de lassiette subventionnable. Ce taux peut être modulé en fonction du cumul de plusieurs des critères suivants :
- la situation financière du maître douvrage et des collectivités locales ;
- les soutiens financiers ou en apport de foncier par les collectivités locales ;
- les difficultés sociales et les caractéristiques techniques particulières de lopération.
5. Traitement des copropriétés dégradées
Les aides ci-dessous ne peuvent se cumuler avec les subventions accordées pour le même objet par lAgence nationale pour lamélioration de lhabitat.
5.1. La démolition de copropriétés
Nature de lopération :
La démolition doit sinscrire dans le cadre du projet de rénovation urbaine densemble du quartier. Sont concernées les opérations de démolition de logements situés dans des immeubles en copropriété, dès lors que ceux-ci ont fait ou font lobjet dun plan de sauvegarde aboutissant au constat de la nécessité dune démolition totale ou partielle, ou dune déclaration détat de carence du syndicat des copropriétaires au titre de larticle L. 615-6 du CCH ou quils ont été affectés par un sinistre portant une atteinte irrémédiable à la sécurité du bâtiment et mettant gravement en danger la santé des habitants.
Assiette et taux de subvention :
1er cas : opération de démolition sans restructuration urbaine dîlot.
Lassiette de la subvention est constituée du déficit prévisionnel du bilan financier de lopération établi avec :
En dépenses :
- les coûts et frais dacquisition des logements à démolir, annexes et terrains éventuels, de retrait de la copropriété en cas de démolition partielle ;
- les coûts de relogement des habitants (déménagement, frais douverture des compteurs deau et délectricité, travaux de remise en état des logements et accompagnement social) ;
- les coûts de gestion provisoire des logements ;
- les frais financiers (intérêts des emprunts contractés, impôts fonciers, taxes additionnelles, assurances) ;
- les coûts de démolition des logements, annexes et réseaux éventuels ;
- les coûts de remise en état de la parcelle concernée (préverdissement) ;
- les frais et prestations directement imputables à lopération (dont la rémunération de lopérateur).
En recettes :
- la valorisation des terrains ou immeubles ou le produit, le cas échéant prévisionnel, de leur cession ;
- les loyers ou indemnités doccupation éventuelle.
Le taux de subvention maximum est fixé à 70 % de lassiette.
2e cas : opération de démolition avec restructuration urbaine dîlot.
Lorsque lopération de démolition est intégrée dans le périmètre dune opération de restructuration faisant lobjet dune convention pluriannuelle de financement prévue à larticle 10 de la loi, conclue ou en cours délaboration, laide maximale est portée jusquà 100 % du déficit prévisionnel, déduction faite des participations des autres cofinanceurs au vu dune appréciation (cf. paragraphe 7) :
- de la situation financière du maître douvrage ;
- de la situation financière des collectivités territoriales ;
- de difficultés techniques ou sociales particulières de lopération.
5.2. Le portage provisoire de lots dimmeubles en copropriété
Nature de lopération :
La requalification dune copropriété peut nécessiter une opération de portage dans lobjectif daméliorer le fonctionnement de la copropriété, pour soutenir le marché immobilier en stoppant la chute des valeurs vénales ou pour contrecarrer larrivée de « marchands de sommeil » en remédiant au processus de dégradation à travers lacquisition, la remise en état puis la revente de logements. Seules sont concernées les opérations de portage de logements situés dans des immeubles en copropriété faisant lobjet dun plan de sauvegarde.
Assiette et taux de subvention :
1er cas : opération de portage sans projet de rénovation urbaine.
Lassiette de la subvention est constituée du déficit prévisionnel du bilan financier de lopération établi avec :
En dépenses :
- les coûts et frais dacquisition des logements, annexes et terrains éventuels ;
- les dépenses liées au relogement et au suivi social ;
- les coûts de travaux, dentretien et de gestion provisoire des logements ;
- les frais de portage (charges de copropriété, impôts, taxes, assurance) ;
- les frais financiers (intérêts des emprunts contractés) ;
- les frais dingénierie immobilière, liés à la prospection pour lachat et la vente ;
- les frais et prestations directement imputables à lopération (dont la rémunération de lopérateur).
En recettes :
- les produits de la location éventuelle des logements ;
- les produits prévisionnels de la cession ultérieure des logements, terrains ou immeubles ;
- les subventions de lAgence nationale pour lamélioration de lhabitat.
Le taux de subvention maximum est fixé à 70 % de lassiette.
2e cas : opération de portage inscrite dans un projet de rénovation urbaine.
Lorsque le portage provisoire est intégré dans le périmètre dune opération de rénovation urbaine, faisant lobjet dune convention pluriannuelle de financement prévue à larticle 10 de la loi, conclue ou en cours délaboration, la subvention maximale est portée à 100 % sur la base dune assiette identique à celle mentionnée au premier cas, intégrant toutefois en recettes la totalité des subventions des cofinanceurs, au vu dune appréciation (cf. paragraphe 7) :
- de la situation financière du maître douvrage ;
- de la situation financière des collectivités territoriales ;
- de difficultés techniques ou sociales particulières de lopération.
6. Restructuration lourde de logements locatifs
Les spécificités de certains patrimoines situés dans les territoires dintervention de lANRU, (habitat minier, cités ouvrières...) en termes de gestionnaires, doccupation sociale, et de configuration de lhabitat peuvent justifier une intervention particulière. Celle-ci seffectue en cohérence avec celle de lANAH, et les opérations ne peuvent être financées que dans le cadre de projets globaux.
Nature de lopération :
Sont concernées les opérations ayant pour objet la restructuration de logements en vue de créer une offre de logements de taille mieux adaptée aux besoins des ménages, et la restructuration éventuelle du parcellaire consécutif à la recomposition du bâti.
Assiette et taux de subvention :
Le calcul de la subvention peut être effectué sur la base dun bilan daménagement sur un périmètre restreint aux îlots directement concernés par la restructuration.
Le bilan pourra intégrer, sur le périmètre concerné :
En dépenses :
- les coûts directs de restructuration des logements, les coûts liés au relogement des habitants le cas échéant ;
- la perte dexploitation du bailleur engendrée par la vacance technique ;
- les coûts des travaux de restructuration du foncier et prestations liées.
En recettes :
- la valorisation du foncier constructible éventuellement créé par le redécoupage parcellaire ;
- les subventions de lANAH relatives aux travaux damélioration des logements.
Le bilan ainsi effectué peut donner lieu à un déficit finançable jusquà 25 % de son montant.
7. Modalités de calcul des aides
Les modalités de prise en compte de la TVA dans lassiette subventionnable, ainsi que les conditions de modulation du taux de subvention en fonction de la situation financière des maîtres douvrage et des collectivités locales et des difficultés techniques et sociales particulières des opérations, qui sont définies par le conseil dadministration de lagence sappliquent aux aides mentionnées dans la présente circulaire.
Le contrôleur financier, L. Durvye |
Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de lurbanisme, de lhabitat et de la construction, F. Delarue |