Jean-François BLANCHET, Directeur Général du groupe BRL
Quand l’apprentissage est bien mené, on a plus de certitudes d’avoir le bon profil ce qui évite d’avoir à lancer des recrutements qui peuvent être onéreux avec des risques d’échec.
On sécurise la qualité du recrutement.
Nous avons doublé le nombre d’apprentis en deux ans, avec un objectif d’égalité hommes-femmes : parce que ça répond à notre politique d’entreprise responsable sur son territoire mais aussi pour transmettre les savoir faire entre générations.
Après mon bac, j’aurais pu faire une prépa ou le même diplôme sans alternance. Mais ça m’intéressait de voir à quoi concrètement ressemblait le métier que je préparais, et je voulais me donner encore plus de chances de trouver un emploi à la fin de ma formation.
A diplôme égal, un employeur va toujours préférer celui ou celle qui connaît le monde de l’entreprise. Et entre deux ans d’apprentissage et quelques mois de stage, il n’y a pas photo : un apprenti est beaucoup plus acclimaté à la réalité de l’entreprise.
J’aurais pu faire ma formation sans apprentissage mais je sais qu’une fois diplômée, la confrontation au monde de l’entreprise avec une véritable expérience professionnelle sera un atout réel.
En apprentissage, on devient tout de suite un acteur de l’entreprise. Je trouve qu’en stage, on est plus observateur et moins acteur.
J’apporte une contribution effective aux activités de l’entreprise avec mes connaissances apprises à l’école. Réciproquement, l’entreprise me consacre du temps et m’intègre à sa communauté de travail. J’ai vraiment l’impression de partager l’aventure de l’entreprise, ses projets de développement et aussi d’être reconnue par les autres salariés.
Chez BRL, je suis formée à la communication interne et j’ai un petit faible pour l’événementiel : créer du lien, de la cohésion. Dans notre entreprise qui compte 600 collaborateurs, c’est d’ailleurs un axe stratégique fixé par la Direction et pour lequel j’appuie la Directrice de la Communication.